l’échelle
& le détail
l’échelle
& le détail
Les toiles d’Olivier Carré ont toujours cet extra plus dans la taille, comme pour nous inciter au mouvement : faire un pas, en arrière pour mieux voir, ou alors un pas un avant pour mieux s’y plonger.
Les toiles d’Olivier Carré ont toujours cet extra plus dans la taille, comme pour nous inciter au mouvement : faire un pas, en arrière pour mieux voir, ou alors un pas un avant pour mieux s’y plonger.
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Ce qui rend l’œuvre d’Olivier Carré si particulière est la façon dont il parvient à marier grande échelle et minutie du détail. Il ne s’agit pas seulement de captiver le spectateur par la taille, mais de l’inviter à une observation attentive, à une contemplation qui révèle des couches d’information et d’émotion supplémentaires.
Cette dynamique entre le global et le minutieux témoigne d’une vision artistique à multiples facettes où le spectateur est invité à naviguer entre deux niveaux d’observation : celui d’une impression d’ensemble et celui d’une immersion dans les détails intimes de l’histoire que la toile révèle.
Des œuvres qui se déploient à chaque regard
Les toiles d’Olivier Carré ont toujours cet extra plus dans la taille, comme pour nous inciter au mouvement : faire un pas, en arrière pour mieux voir, ou alors un pas en avant pour mieux s’y plonger. Chaque grand format devient ainsi une mosaïque de révélations.
Une convergence de lectures : cette approche, où l’échelle amplifie la force émotionnelle et les détails ajoutent à la complexité visuelle, fait de chaque œuvre d’Olivier Carré un espace de découverte. Elle appelle à une exploration, où l’œil est sans cesse attiré par de nouveaux éléments, dévoilant de nouvelles interprétations à chaque regard, chaque repli de matière portant une histoire.
Le verbe latin monere qui signifie « faire penser », « avertir » a donné le substantif monumentum désignant une structure qui a pour but de transmettre au futur une mémoire donnée .
◄Dans des œuvres telles que Le Château Gaillard (1990), Olivier Carré utilise la taille qui pourrait évoquer une architecture imposante, symbolise sans doute la construction de l’ambition humaine, la solidité des rêves ou encore la fragilité des structures humaines face au passage du temps.
A l’opposé, Monument à l’Arbre (1990), quant à lui, incarne un hommage à la nature, à la vie et à la résilience des éléments, en utilisant simplement ce symbole de force et de longévité perpétuée.
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Ce choix de grande échelle donne à ses œuvres une certaine monumentalité, un caractère qui rend hommage aux éléments de la nature, ainsi qu’aux structures architecturales et aux formes qui transcendent l’individu.
En publiant la monographie d’Olivier Carré, l’association Quasar 54 a isolé certaines toiles, les recadrant en plan rapproché en pleine page pour offrir cette double lecture des toiles
Tête sur une tour dominant les marais de Saintonge
la toile du Château-Gaillard en cours, circa 1989