QUAI DU LOUVRE
PARIS
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Les Sphères du Louvre
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Un peu plus loin, en descendant la Seine, Olivier Carré a installé 3 sphères :
LA SPHÈRE : C’est la Terre, l’Espace, une forme qui contient la mobilité, roule et tourne passant par un nombre incalculable de points. La rondeur et la circularité implique la réversibilité, la tridimensionnalité donc la variété. Inversement la ligne droite avec son début et sa fin, indique une direction, l’opposé du choix. Le cercle, c’est la réclusion dans l’éternel retour. La sphère contient le hasard, les spirales, et toutes les chances.
LE NOMBRE TROIS : Le réel vivant commence avec le trois. Henri Poincaré (décrivant de ce fait la relativité) admettait que les N nombres (c.a.d. plus que 2) rendaient toute science imparfaite et selon lui impossible. «l’inconnu, le pluriel, l’incalculable, commence avec le Trois». Le mystère aussi. Il est actif, joyeux, variable, dialectique et dynamique. Il propose au lieu d’imposer. C’est la sortie de la science et le baiser de l’histoire.
LE UN : Lui, terrorise par l’absence d’alternative (dieu/diable, bien/mal, gentil/méchant, beau/laid) ou gère (le binaire informatique). Il ne fait pas partie de la nature, car sa ruse, son impalpabilité, le fait qu’il implique son symétrique le rendent toujours duel. Ils sont deux. Ils trichent, c’est l’affaire monothéïste.
LE BÉTON : Son coeur est dur, c’est l’acier, mais, n’ayant pas d’aspect propre, particulier (il dépend du moule) sa peau peut-être tendre. La noblesse qui lui fait défaut dans l’immaginaire commun est due à l’abscence de gestes nobles précédant sa coulée. Cette peau dépend de ses épousailles avec le moule qui en accouche, elle peut tout être.
PIRATE : Cela n’est pas une vocation, pour être corsaire il faut des Médicis.
L’EAU : Des formes placées en face, dessus, dessous, parce que nous en venons tous.
QUESTION : Puisque le hasard n’existe pas (tout serait succession de chaînes causales), que la terre est un être, comment s’y prendra-t-elle pour amener le niveau de population humaine à ce que sa peau peut suppoter ?
Ou bien si Dieu est l’univers la Terre est-elle une petite déesse qu’il faut célébrer ?
Olivier Carré, “DÉDIÉ À LA TERRE”
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LA SPHÈRE : C’est la Terre, l’Espace, une forme qui contient la mobilité, roule et tourne passant par un nombre incalculable de points. La rondeur et la circularité implique la réversibilité, la tridimensionnalité donc la variété. Inversement la ligne droite avec son début et sa fin, indique une direction, l’opposé du choix. Le cercle, c’est la réclusion dans l’éternel retour. La sphère contient le hasard, les spirales, et toutes les chances.
LE NOMBRE TROIS : Le réel vivant commence avec le trois. Henri Poincaré (décrivant de ce fait la relativité) admettait que les N nombres (c.a.d. plus que 2) rendaient toute science imparfaite et selon lui impossible. «l’inconnu, le pluriel, l’incalculable, commence avec le Trois». Le mystère aussi. Il est actif, joyeux, variable, dialectique et dynamique. Il propose au lieu d’imposer. C’est la sortie de la science et le baiser de l’histoire.
LE UN : Lui, terrorise par l’absence d’alternative (dieu/diable, bien/mal, gentil/méchant, beau/laid) ou gère (le binaire informatique). Il ne fait pas partie de la nature, car sa ruse, son impalpabilité, le fait qu’il implique son symétrique le rendent toujours duel. Ils sont deux. Ils trichent, c’est l’affaire monothéïste.
LE BÉTON : Son coeur est dur, c’est l’acier, mais, n’ayant pas d’aspect propre, particulier (il dépend du moule) sa peau peut-être tendre. La noblesse qui lui fait défaut dans l’immaginaire commun est due à l’abscence de gestes nobles précédant sa coulée. Cette peau dépend de ses épousailles avec le moule qui en accouche, elle peut tout être.
PIRATE : Cela n’est pas une vocation, pour être corsaire il faut des Médicis.
L’EAU : Des formes placées en face, dessus, dessous, parce que nous en venons tous.
QUESTION : Puisque le hasard n’existe pas (tout serait succession de chaînes causales), que la terre est un être, comment s’y prendra-t-elle pour amener le niveau de population humaine à ce que sa peau peut suppoter ?
Ou bien si Dieu est l’univers la Terre est-elle une petite déesse qu’il faut célébrer ?
Olivier Carré, “DÉDIÉ À LA TERRE”